dimanche 31 octobre 2010

Pause déjeuner.


Quand depuis 7 heures le matin, on distribue des tracts, une pause déjeuner le midi est la bienvenue!
En tout cas, l'agité du bocal doit le savoir, on attend pas sagement 2012 qu'un DSK vienne nous dire que cette réforme est inéluctable! Ce qu'on veut c'est la solidarité. 
Le conseil national de la résistance, au sortir de la guerre, l'a édicté en principe.

"Chacun paye en fonction de ses revenus, chacun perçoit selon ses besoins."

Bien évidemment, le patronat de l'époque, déjà bien emmerdé par sa collaboration avec les nazis, a accepté. Maintenant, c'est fini de rigoler, on expulse les roms, on kärchérise les banlieues, on déloge les grévistes à l'aide des CRS et on fait tout pour récupérer le pognon en circulation!

Pourtant, une usine peut très bien se passer de patron, mais pas d'ouvriers!
Sans nous, ils ne sont rien!
Récupérons notre bien et foutons les patrons dehors!






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