mardi 13 octobre 2015

samedi 22 août 2015

Le Vercors!

Je ne sais pas s'il fait toujours aussi chaud dans cette région à cette époque de l'année mais même sur les hauteurs, le vent était tiède.

mardi 11 août 2015

Canicule.

Il fait très chaud, 35° à l'ombre, sous cet arbre....et pas une terrasse où s’arrêter siroter une bière bien fraiche!

jeudi 2 juillet 2015

Une terrasse ombragée!

Se retrouver à l'heure de l'apéritif et plonger dans le passé avec un verre d'Hypocras!

mardi 30 juin 2015

Là, tu t'assieds sur un banc.
Tu te coupes un part de tome de brebis de Bethmale.
 Tu dégustes en savourant un Jurançon moelleux.
Un régal pour les papilles et les yeux!

dimanche 17 mai 2015

L'importance des mots.

Les noms des maladies mentales sont souvent utilisés pour qualifier des comportements de personnes ou de groupes politiques voire de l'Etat. J'ai pu ainsi entendre : « Le gouvernement est autiste, il ne veut pas nous entendre. ». Est-on certain que ce terme s'applique au comportement d'un groupe de personnes, ici le gouvernement ?
J'en doute. Si là, par autisme on entend « refus de nous écouter », on met en avant l'action délibérée de nous ignorer. Si cela peut s'apparenter à de l'autisme dans l'expression d'un de ses symptômes, comment peut-on affirmer à la vue de ce seul symptôme que le gouvernement souffre de cette maladie ? Parce que oui, l'autisme est une maladie. Je ne vais pas rentrer dans les détails de cette maladie ni dans les différentes manières de permettre aux personnes qui en souffrent, avec leur entourage, de les soigner mais il me semble important de souligner que ces personnes n'ont pas choisies d'être malades. En associant ce terme d'« autiste » au comportement du gouvernement refusant de nous entendre nous dénions cette particularité à ces personnes. C'est également être dans le déni de cette souffrance et la rabaisser à un symptôme. Il n'est nul besoin de rajouter de la souffrance à celle déjà vécue.

Paysage ardéchois.

Orgues basaltiques à admirer avec un bon Laphroig dans les mains.